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RESTER SEREIN EN MILIEU HOSTILE
Accepter d'avoir peur pour mieux réussir
Pourquoi réaliser ce type d'accompagnement :
- Le stress n'appartient pas à l'environnement: lorsque l'environnement s'impose à nous, cela signifie que les objectifs que nous nous fixons ne sont pas justes.
- Une personne limitée dans son efficacité ou son développement est une personne qui se protège : elle limite son mouvement, car elle pressent que son action est « à risque ».
- Le fait de se sentir en sécurité est un besoin vital de l'individu. Tant que ce dernier ne sera pas satisfait, aucune autre action ne pourra se mettre en place de façon aisée et posée.
- Afin de développer son efficacité en situation hostile, tout acteur de l'entreprise devra penser sa sécurité préalablement à son efficacité.
- C'est parce qu'une personne se sentira en sécurité dans son action qu'elle produira un mouvement ample, efficace et sûr.
Quand réaliser cet accompagnement :
- Quand l'efficacité du système stagne.
- Quand le stress est trop présent ou permanent et limite l'initiative ou la créativité des équipes.
- Quand la brutalité devient un mode de fonctionnement dans la relation, le management ou les négociations.
Bénéfices de cet accompagnement :
- Une autre façon de réussir qui fait rimer efficacité et tranquillité.
- Une compétence tactique renforcée pour gérer les situations complexes ou à fort enjeux.
- Une autre manière d'appréhender la peur, le stress et les stratégies de pouvoir.
- Une compétence tactique qui permet d'agir « avec » la peur plutôt que « contre » ou
« malgré » elle.
Thématiques et ateliers de cet accompagnement :
- Plus un environnement est hostile, plus nous nous sentons menacés. Face au danger, notre propre protection est toujours, pour l'organisme, la priorité : tout ce qui peut ralentir ou infléchir cette réaction est mis entre parenthèses.
- La peur et le stress existent pour nous préserver. En cela, ils sont une invitation à mieux nous protéger dans notre mouvement.
- Moins nous reconnaissons nos craintes, plus nous leurs donnons de consistance. C'est parce que nous refusons d'avoir peur que nous sommes en difficulté : la peur grandit dans l'ombre.
- Notre stress nous invite donc à revoir notre mouvement et mieux y intégrer notre environnement.
- Ce sont les objectifs que nous nous fixons qui donnent au stress son pouvoir et sa consistance.
- C'est parce que nous voulons gérer ou faire disparaitre le stress qu'il s'impose à nous. Le stress n'est jamais l'ennemi, mais le messager. A vouloir faire disparaître le message, nous obligeons notre corps à « monter le volume » : et le stress s'amplifie.
- Dès que nos craintes trouveront une place dans notre plan, elles cesseront de se manifester.
- Pour avoir moins peur, il faudra paradoxalement accepter d'avoir peur… Et adapter son action en fonction. C'est parce qu'une personne refuse d'avoir peur qu'elle en subit les effets.
- En cela, toute démarche visant à gérer son stress ou à l'évacuer est hors sujet. Le stress ne doit pas être ni géré ni évacué, car il est une information essentielle à notre efficacité : c'est d'ailleurs parce que nous vouons le gérer ou l'évacuer qu'il s'impose à nous et nous met en inconfort et difficulté.
- Enfin, de part notre histoire, nous avons parfois pris de « mauvaises habitudes » face au danger: notre stress nous indique que notre réponse au danger n'est plus adaptée. Notre corps continue à avoir peur là où le danger n'est plus.
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